Plus j’avançais dans la lecture,  plus des afflux d’une beauté presque insoutenable venaient à moi, me serrant la gorge comme en une posture inutile de défense, pour finalement ne pas pouvoir réprimer le moindre sanglot ! Loin de toute faiblesse pleurnicharde, c’est l’intuition et la nostalgie de ces mondes indicibles, jusqu’à la Maison du Père elle-même, qui m’ont profondément touché. J’ai ressenti cette beauté descendre sur Terre et s’ancrer en moi. Cette vision a remis au premier plan l’urgence du choix, sans complaisance mais avec la vision de la vie heureuse de l’humanité à côté de laquelle nous sommes passés.
La partie sur les pathologies psychiatriques est extrêmement instructive et, bien que n’étant pas directement soignant, va m’aider dans une approche plus juste (et aidante) de mes semblables. Mais là, pour le coup, je vais devoir relire une deuxième voire une troisième fois pour en recevoir le plein potentiel 😅!